Actualités sur les gouvernements

Le sénateur américain Rand Paul a demandé un audit des réserves d’or de Fort Knox, relançant le débat sur la transparence du bitcoin et la confiance financière qu’il inspire face aux actifs traditionnels.

Bien que Donald Trump ait lancé son memecoin avant de prendre ses fonctions, il a appelé ses abonnés sur les réseaux sociaux à l'acheter après le 20 janvier.

Le groupe de travail impliquant quatre commissions du Congrès sera distinct de celui qui étudie la création d'une réserve de bitcoins dans le cadre des décrets de Donald Trump.

L'ancien directeur de la communication de la Maison Blanche aurait suggéré que les membres du Congrès en campagne pour leur réélection « ne veulent pas s'opposer à l'industrie crypto »

L'adoption du bitcoin comme actif stratégique par de petits États pourrait inciter des nations plus grandes à suivre cet exemple.

Le projet de loi HB1844 de l’Illinois propose la création d’une réserve d’État en bitcoin, avec une obligation de détention d’au moins cinq ans avant toute conversion ou vente.

Jerome Powell a déclaré que les banques étaient « parfaitement capables de servir les clients crypto » et a suggéré que les législateurs devraient agir pour aborder les risques potentiels pour les ménages.

La présidente par intérim de la CFTC, Caroline Pham, a déclaré que la Commission prévoyait de « revenir aux fondamentaux », suggérant également que le régulateur étudierait les garanties réglementaires.

En détenant leurs propres clés, les bitcoiners peuvent se prémunir contre les risques de centralisation tout en profitant des avantages de l'adoption du bitcoin, a déclaré Lucien Bourdon de Trezor.

L'agence FINTRAC du Canada met à jour ses stratégies contre le blanchiment d'argent, en soulignant le rôle des cryptomonnaies dans la lutte contre le trafic d'opioïdes synthétiques.

Le groupe de travail établi sous ce décret présidentiel explorera les régulations fédérales pour les stablecoins et la constitution d’une réserve nationale d’actifs numériques.

La commissaire de la CFTC avait auparavant appelé à réglementer les actifs numériques dans son rôle au sein du régulateur financier, une position qui pourrait évoluer sous Donald Trump.

Le président élu ne peut officiellement nommer personne avant son investiture le 20 janvier, mais le Sénat américain a tenu des auditions pour interroger ses choix potentiels.

Le Brésil a exprimé son mécontentement face à la décision de Meta de se fier aux notes communautaires, affirmant qu'il ne permettrait pas à sa population d'être exposée à des plateformes de réseaux sociaux conduisant à un « carnage numérique ou à la barbarie ».

Le futur président des États-Unis disposera de l'autorité nécessaire pour mettre en œuvre de nombreuses politiques favorables aux utilisateurs de cryptomonnaies dès son entrée en fonction la semaine prochaine.