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L'exchange de cryptomonnaies a intenté une action en justice contre la SEC en octobre après avoir reçu un avis de Wells, mais elle a abandonné cette action le jour même où son PDG a rencontré le président élu des États-Unis.

Chrystia Freeland a déclaré qu'elle resterait membre du Parlement canadien, mais qu'elle avait démissionné du cabinet du Premier ministre Justin Trudeau.

Il s'agirait de la toute première fonction spécifique à la crypto au sein de la Maison Blanche et elle pourrait être directement rattachée à M. Trump, a rapporté Bloomberg.

Le candidat républicain à la présidence a réitéré sa promesse de gracier Ross Ulbricht et de faire en sorte que tous les bitcoins soient « made in USA ».

Hayden Adams a suggéré que les politiques de la SEC et de la sénatrice Elizabeth Warren en matière de cryptomonnaies pourraient nuire aux chances du président Joe Biden d'obtenir un second mandat.

L'accent mis par l'exchange de cryptomonnaies sur les marchés non américains fait partie de la prochaine phase de ses plans d'expansion.

Chris Larsen, président de Ripple Labs, déclare qu'à la suite des récentes affaires impliquant Ripple, Grayscale et la Securities and Exchange Commission, il est temps que le Congrès prenne l'initiative en matière de politique crypto.

Selon la commission, le New Hampshire devrait chercher à mettre en place un cadre juridique favorable « à un bon développement des technologies blockchain et de leurs applications ».

Wyre a imposé une limite de retrait quotidienne aux utilisateurs de sa plateforme, invoquant « l'intérêt supérieur » de sa communauté.

Les lignes de bataille se dessinent sur la cryptomonnaie au Congrès, mais les dirigeants du secteur restent optimistes.

Initiée par Grayscale, l'enquête suggère que la réglementation des cryptomonnaies est une question bipartisane. La majorité des électeurs démocrates et républicains interrogés déclarent vouloir de la clarté.

Il existe « 15 régulateurs différents » et « pratiquement aucune clarté » en ce qui concerne la réglementation des cryptomonnaies aux États-Unis, selon Diogo Mónica.

Les deux régulateurs financiers américains ont évoqué la croissance de l'industrie des fonds spéculatifs comme motif de la modification proposée, qui s'explique en partie par le fait que les investissements en actifs numériques deviennent plus fréquents.

Le décret du président Joe Biden sur les cryptomonnaies, en mars, demandait au département du Trésor de prendre la tête des autres agences gouvernementales pour élaborer des recommandations politiques.

La conférence anti-crypto espère que les participants auront l'occasion de parler face à face avec des représentants du gouvernement pour partager leur scepticisme à l'égard de l'industrie.